A force d'entendre les collègues parler vacances, il faut peut être que j'y pense... j'ai pas spécialement besoin de partir après plus de 3 ans de pause...
Mais bon, si je ne l'organise pas, personne ne va le faire à ma place...
En étudiant bien la question, je n'ai quand pas beaucoup de choix, je commence à travailler donc pas trop de congé... si je ne veux pas que mon fils loupe sa rentrée éventuelle en septembre, il faut pas partir en septembre. Pour éviter de partir en même temps que tout le monde, il faut partir en juin... seulement, on a de la visite...
Après, j'ai un problème de lieu... à force de prendre l'avion, je n'ai pas envie de partir en avion. Avec un bébé, on ne peut pas être très original... alors si vous avez des idées...
Je sens que je dois faire sauter certains critères...
31/03/2009
26/03/2009
VO où es tu ?
Ca me fait tout bizarre d’entendre Angelina Jolie ou Jennifer Aniston parler français… j’ai la chaire de poule… résultat je ne regarde plus de séries américaines. Il était plus facile d’avoir des séries en VO il y a 4 ans…maintenant c’est mission impossible. La télé n’a pas fait de progrès !
Pour les films, il faut aller sur Paris pour la version VO.
Quelques tuyaux quand même, sur Arte, les films américains sont en VO quand on passe en Allemand. Voilà pourquoi les allemands sont meilleurs que nous en Anglais, ils ont droit à la VO ! C’est de la triche ! Sinon, une fois sur TF1 HD, j’ai choisi la langue inconnue, et c’est la version originale… mais ça ne marche pas tout le temps.
Si quelqu’un peut me dire sur quelles chaines ou comment avoir la VO, je suis preneuse.
Pour les films, il faut aller sur Paris pour la version VO.
Quelques tuyaux quand même, sur Arte, les films américains sont en VO quand on passe en Allemand. Voilà pourquoi les allemands sont meilleurs que nous en Anglais, ils ont droit à la VO ! C’est de la triche ! Sinon, une fois sur TF1 HD, j’ai choisi la langue inconnue, et c’est la version originale… mais ça ne marche pas tout le temps.
Si quelqu’un peut me dire sur quelles chaines ou comment avoir la VO, je suis preneuse.
23/03/2009
Déodorant fait maison
La pierre d’alun m’a donné des boules sous les aisselles. Il paraît que c’est fréquent, il suffit d’arrêter la pierre pendant quelques jours, le temps que les pores se débouchent…
En attendant, j’ai fait un deo maison et je l’ai adopté. La pierre, elle marche mais on a l’impression qu’il n’y a rien, alors on a tendance à mettre plus… c’est peut être comme ca que j’ai eu les boules…
La recette est une adaptation de plusieurs recettes de livre et d’internet, elle marche très bien sur moi mais ne marche pas sur mon homme.
• 55ml d'eau d'hamamélis (astringent)
• 55 ml d'eau déminéralisée
• 1 c café de glycérine végétale
• 5 gouttes d'huile essentielle de Lavande (Bactéricide puissante, Fongicide)
• 5 gouttes d'huile essentielle de Romarin (antiseptique, calmant, cicatrisante cutanée)
• 5 gouttes d'huile essentielle de citron (Tonique du système nerveux, Antiseptique général et bactéricide)
• 10 gouttes d'huile essentielle de cyprès (transpiration excessive)
Mélanger le tout, et laisser infuser trois jours. Puis utiliser avec un vaporisateur.
Trop facile !
En attendant, j’ai fait un deo maison et je l’ai adopté. La pierre, elle marche mais on a l’impression qu’il n’y a rien, alors on a tendance à mettre plus… c’est peut être comme ca que j’ai eu les boules…
La recette est une adaptation de plusieurs recettes de livre et d’internet, elle marche très bien sur moi mais ne marche pas sur mon homme.
• 55ml d'eau d'hamamélis (astringent)
• 55 ml d'eau déminéralisée
• 1 c café de glycérine végétale
• 5 gouttes d'huile essentielle de Lavande (Bactéricide puissante, Fongicide)
• 5 gouttes d'huile essentielle de Romarin (antiseptique, calmant, cicatrisante cutanée)
• 5 gouttes d'huile essentielle de citron (Tonique du système nerveux, Antiseptique général et bactéricide)
• 10 gouttes d'huile essentielle de cyprès (transpiration excessive)
Mélanger le tout, et laisser infuser trois jours. Puis utiliser avec un vaporisateur.
Trop facile !
22/03/2009
Mon coup de gueule de la semaine
Voilà comment on devient une citadine
Je m’étais jurée de ne pas devenir comme eux, des gens qui courent, qui s’ignorent, qui deviennent agressifs au volant, qui bouffent n’importe quoi…
Mais je le deviens malgré moi… coincée dans un bouchon, se faire insulter pour un rien, non respect du code de la route, je ne parle pas du problème du parking … à force on devient agressif… j’évite le volant.
Il ne s’est pas passé un jour sans retard des RER, je suis écrasée dans le train… et après, il faut courir…
Pire encore, j’ai réservé une salle de réunion, il se trouve qu’un autre groupe l’a réservé aussi… on s’est fait chasser de la salle par la secrétaire qui a décrété que c’est son groupe qui a la salle… je suis étonnée de son impolitesse, c ‘est tout de même une collègue… on peut se croiser dans l’ascenseur ou pour une mutation… je la prendrai pas c’est sûr ! Un malentendu, un dysfonctionnement, ça arrive et il y a toujours un arrangement entre collègues, de la à nous chasser comme des inconnus sans même y mettre la forme… pourvu que je ne devienne pas comme ça !
Je m’étais jurée de ne pas devenir comme eux, des gens qui courent, qui s’ignorent, qui deviennent agressifs au volant, qui bouffent n’importe quoi…
Mais je le deviens malgré moi… coincée dans un bouchon, se faire insulter pour un rien, non respect du code de la route, je ne parle pas du problème du parking … à force on devient agressif… j’évite le volant.
Il ne s’est pas passé un jour sans retard des RER, je suis écrasée dans le train… et après, il faut courir…
Pire encore, j’ai réservé une salle de réunion, il se trouve qu’un autre groupe l’a réservé aussi… on s’est fait chasser de la salle par la secrétaire qui a décrété que c’est son groupe qui a la salle… je suis étonnée de son impolitesse, c ‘est tout de même une collègue… on peut se croiser dans l’ascenseur ou pour une mutation… je la prendrai pas c’est sûr ! Un malentendu, un dysfonctionnement, ça arrive et il y a toujours un arrangement entre collègues, de la à nous chasser comme des inconnus sans même y mettre la forme… pourvu que je ne devienne pas comme ça !
16/03/2009
Parce vous le valez bien… plus encore
Après quelques mois de mèches cuivrées malgré moi, j’ai enfin testé l’indigo, le produit naturel qui permet de foncer le henné. Et bien, avec une proportion de 1/3 henné et 2/3 indigo, j’obtiens un reflets brun foncé, ce qui est naturel sur les cheveux noirs. Quand j’aurai coupé toutes les pointes colorés en noirs avec des produits kkbeurg, et refait plusieurs fois le henné, j’aurais des cheveux brun foncé.
Je pourrais après moduler les proportions pour avoir un brun plus ou moins foncé.
Ca n’a pas été simple de trouver de l’indigo, je l’ai acheté en Allemagne. Ce n’est pas donné, et les frais de port ne sont pas très clairs en plus d’être élevé. Je repasserai par eux que si je ne trouve rien d’autre… en attendant, je cherche toujours un revendeur…
J’ai trouvé un petit mode emploi en français sur le net
http://www.mehandi.com/shop/hennahairbook/index.html et après il fait cliquer sur le lien Le « Le guide de la coloration capillaire au henné: Henné » en bas à droite de la page.
Très complet, il explique en détail la préparation, l’application avec photos et les astuces, tout ca avec photos. En plus, il y a un nuancier et un tableau pour nous aider.
J’ai appris que certains hennés de mauvaise qualité sont boostés avec des sels minéraux, des métaux, colorants ou fixateurs de synthèse, PPD… ils peuvent causer des démangeaisons, allergies, dessèchement des cheveux. Faire croire que c’est du naturel alors que c’est bourré de kkbeurg, c’est vicieux ! Autant utiliser une coloration à l’ammoniac, au moins, on le fait en connaissance de cause !
Ca explique pourquoi certains préconisent de mettre de l’huile dans le henné pour réduire l’assèchement, et déconseillent de faire le henné puis une coloration chimique et vice et versa… (les métaux du henné et l’ammoniac et l’eau oxygéné des colorations chimiques ne font pas bon ménage). C’est pourquoi il est important de vérifier la composition du henné, celui-ci doit être 100% végétal : lawsonia inermes (nom latin du henné), indigo… En général, un végétal a un nom latin et un produit chimique a un nom en sigle ou un nom à rallonge très caractéristique, s’il y a un doute, faites une recherche du composant sur internet. Cela étant dit, les importateurs ne mettent pas forcément tout dans la composition (teneur faible, législation différentes du pays d’origine…) Le guide propose un test sur les cheveux récupérés sur votre brosse pour vérifier la présence de métaux sur le henné utilisé sur vos cheveux.
D’après ce guide, il n’est pas interdit de faire le henné puis une coloration chimique si le henné est 100% végétal. De même, il n’est pas nécessaire d’ajouter de l’huile car le henné naturel ne dessèche pas les cheveux. D’ailleurs, l’huile risque d’empêcher la fixation de la couleur.
Ce qu’on ne dit pas souvent, c’est que la couleur se libère mieux dans un milieu acide, donc préparer le henné avec du jus de citron. Attention, l’acidité et les métaux ne font pas bon ménage, le henné doit être exempte de métaux.
Dernier point, j’ai préparé le henné avec de l’eau bouillante… au fait, ca rend la couleur fade… une eau tiède suffit. Mieux encore, préparer à froid la veille et laisser la préparation à température ambiante toute la nuit pour que la couleur se libère.
Avec tout ça, je pourrai écrire un protocole. lol
Je pourrais après moduler les proportions pour avoir un brun plus ou moins foncé.
Ca n’a pas été simple de trouver de l’indigo, je l’ai acheté en Allemagne. Ce n’est pas donné, et les frais de port ne sont pas très clairs en plus d’être élevé. Je repasserai par eux que si je ne trouve rien d’autre… en attendant, je cherche toujours un revendeur…
J’ai trouvé un petit mode emploi en français sur le net
http://www.mehandi.com/shop/hennahairbook/index.html et après il fait cliquer sur le lien Le « Le guide de la coloration capillaire au henné: Henné » en bas à droite de la page.
Très complet, il explique en détail la préparation, l’application avec photos et les astuces, tout ca avec photos. En plus, il y a un nuancier et un tableau pour nous aider.
J’ai appris que certains hennés de mauvaise qualité sont boostés avec des sels minéraux, des métaux, colorants ou fixateurs de synthèse, PPD… ils peuvent causer des démangeaisons, allergies, dessèchement des cheveux. Faire croire que c’est du naturel alors que c’est bourré de kkbeurg, c’est vicieux ! Autant utiliser une coloration à l’ammoniac, au moins, on le fait en connaissance de cause !
Ca explique pourquoi certains préconisent de mettre de l’huile dans le henné pour réduire l’assèchement, et déconseillent de faire le henné puis une coloration chimique et vice et versa… (les métaux du henné et l’ammoniac et l’eau oxygéné des colorations chimiques ne font pas bon ménage). C’est pourquoi il est important de vérifier la composition du henné, celui-ci doit être 100% végétal : lawsonia inermes (nom latin du henné), indigo… En général, un végétal a un nom latin et un produit chimique a un nom en sigle ou un nom à rallonge très caractéristique, s’il y a un doute, faites une recherche du composant sur internet. Cela étant dit, les importateurs ne mettent pas forcément tout dans la composition (teneur faible, législation différentes du pays d’origine…) Le guide propose un test sur les cheveux récupérés sur votre brosse pour vérifier la présence de métaux sur le henné utilisé sur vos cheveux.
D’après ce guide, il n’est pas interdit de faire le henné puis une coloration chimique si le henné est 100% végétal. De même, il n’est pas nécessaire d’ajouter de l’huile car le henné naturel ne dessèche pas les cheveux. D’ailleurs, l’huile risque d’empêcher la fixation de la couleur.
Ce qu’on ne dit pas souvent, c’est que la couleur se libère mieux dans un milieu acide, donc préparer le henné avec du jus de citron. Attention, l’acidité et les métaux ne font pas bon ménage, le henné doit être exempte de métaux.
Dernier point, j’ai préparé le henné avec de l’eau bouillante… au fait, ca rend la couleur fade… une eau tiède suffit. Mieux encore, préparer à froid la veille et laisser la préparation à température ambiante toute la nuit pour que la couleur se libère.
Avec tout ça, je pourrai écrire un protocole. lol
14/03/2009
Déchets, quand vous croyiez être débarrassés…
Hier matin, dans le journal gratuit Métro, j’ai lu un article sur les plaques de plastique qui flottent dans l’océan… qu’est ce que c’est ?
Au fait, ce sont des déchets en plastique qui par l’effet des courants se retrouvent concentrés à certains endroits des océans… on en dénombre 5 à 8, et certaines ont la taille d’un continent !
Pourquoi si approximatif ? Parce que les déchets sont souvent transparents et par les différents phénomènes (courants, salinité, érosion…) sont réduits à une taille invisible à l’œil nu et par les satellites. De plus, ces plaques se déplacent… c’est comme si on essayait d’attraper un fantôme! Voilà pourquoi on peut passer à côté sans s’en rendre compte.
C’est quoi le problème ? A certains endroits, la concentration des particules en plastique est 6 fois supérieure à celles des planctons… le premier maillon de la chaîne alimentaire…
Alors, scénario n°1, les petits poissons meurent de faim car ils ne digèrent pas le plastique. La chaîne alimentaire est rompue. Scénario n°2, le poisson survit et finit dans notre assiette… avec du plastique absorbeur de produits toxiques et métaux lourds… Bon appétit !
Parmi les déchets, y’en a des plus gros, comme des sacs plastiques, les coton tiges… qui pourraient asphyxier les animaux marins…
Au bout de 50 ans, on en a cumulé du plastique ! Et on finit par en manger… Le morceau du steak en plastique ne relève plus de la science-fiction !
Qu’est ce qu’on peut faire ?
• D’abord, réduire l’utilisation des sacs plastiques, fabriqués en quelques secondes, utilisés 20 min en moyenne et quelques centaines d’années pour être décomposés. Réutiliser les au maximum (en sac poubelle par exemple). Il y a aussi des sacs de courses très solides et très tendances, qui a dit que la mode ne rime pas avec écolo ? J’ai adopté un panier en osier pour exhiber les produits frais, bio que j’achète. Ben oui, je regarde ce que les voisins achètent pour me donner des idées, je donne des idées aussi.
• Favoriser les produits avec un minimum d’emballage, ça fait moins de déchets. C’est ce que j’appelle le tri « vraiment à la source ». Les produits bio sont souvent conditionnés avec un emballage minimum, ou emballage recyclable comme le verre. Ben oui, il faut bien que je le place mon bio !
• Eviter le conditionnement individuel, petit format, goûter… c’est pratique, certes, mais tout ce qui est pratique a un prix, et ça ne se chiffre pas en euro malheureusement. Pensez aux petites boites très rigolotes pour mettre vos gâteaux faits maison pour le goûter, le gâteau ne finira pas en miettes au fond du sac contrairement aux sachets individuels. Redonnez une vie à une petite bouteille d’eau en la remplissant comme une gourde.
• Bannir les « jetables », tout ce qui est à utilisation unique… on ne vit pas dans un hôpital. Les lingettes pour le ménages, pour bébés… en a t on vraiment besoin ? Est ce efficace ? Est ce bien pour la santé ?
C'est pas grand chose mais si tout le monde s'y met, on peut éviter de vivre dans une décharge.
Au fait, ce sont des déchets en plastique qui par l’effet des courants se retrouvent concentrés à certains endroits des océans… on en dénombre 5 à 8, et certaines ont la taille d’un continent !
Pourquoi si approximatif ? Parce que les déchets sont souvent transparents et par les différents phénomènes (courants, salinité, érosion…) sont réduits à une taille invisible à l’œil nu et par les satellites. De plus, ces plaques se déplacent… c’est comme si on essayait d’attraper un fantôme! Voilà pourquoi on peut passer à côté sans s’en rendre compte.
C’est quoi le problème ? A certains endroits, la concentration des particules en plastique est 6 fois supérieure à celles des planctons… le premier maillon de la chaîne alimentaire…
Alors, scénario n°1, les petits poissons meurent de faim car ils ne digèrent pas le plastique. La chaîne alimentaire est rompue. Scénario n°2, le poisson survit et finit dans notre assiette… avec du plastique absorbeur de produits toxiques et métaux lourds… Bon appétit !
Parmi les déchets, y’en a des plus gros, comme des sacs plastiques, les coton tiges… qui pourraient asphyxier les animaux marins…
Au bout de 50 ans, on en a cumulé du plastique ! Et on finit par en manger… Le morceau du steak en plastique ne relève plus de la science-fiction !
Qu’est ce qu’on peut faire ?
• D’abord, réduire l’utilisation des sacs plastiques, fabriqués en quelques secondes, utilisés 20 min en moyenne et quelques centaines d’années pour être décomposés. Réutiliser les au maximum (en sac poubelle par exemple). Il y a aussi des sacs de courses très solides et très tendances, qui a dit que la mode ne rime pas avec écolo ? J’ai adopté un panier en osier pour exhiber les produits frais, bio que j’achète. Ben oui, je regarde ce que les voisins achètent pour me donner des idées, je donne des idées aussi.
• Favoriser les produits avec un minimum d’emballage, ça fait moins de déchets. C’est ce que j’appelle le tri « vraiment à la source ». Les produits bio sont souvent conditionnés avec un emballage minimum, ou emballage recyclable comme le verre. Ben oui, il faut bien que je le place mon bio !
• Eviter le conditionnement individuel, petit format, goûter… c’est pratique, certes, mais tout ce qui est pratique a un prix, et ça ne se chiffre pas en euro malheureusement. Pensez aux petites boites très rigolotes pour mettre vos gâteaux faits maison pour le goûter, le gâteau ne finira pas en miettes au fond du sac contrairement aux sachets individuels. Redonnez une vie à une petite bouteille d’eau en la remplissant comme une gourde.
• Bannir les « jetables », tout ce qui est à utilisation unique… on ne vit pas dans un hôpital. Les lingettes pour le ménages, pour bébés… en a t on vraiment besoin ? Est ce efficace ? Est ce bien pour la santé ?
C'est pas grand chose mais si tout le monde s'y met, on peut éviter de vivre dans une décharge.
02/03/2009
Rythme soutenu
J’ai repris le boulot. Bébé a deux ans, je n’ai pas eu de mal à m’en séparer et lui non plus d’ailleurs… Il faut dire que je l’ai confié à mes parents, je n’ai pas eu à faire les entretiens des nounous, à me méfier et à faire des visites surprises. Je pars travailler le cœur léger. Le veinard, il a eu sa maman pendant 2 ans, et c’est les grands parents qui prennent le relais !
Pour éviter de le réveiller le matin et perdre 1h 30 à le préparer et à le déposer, bébé dort chez mes parents. On a choisi d’habiter près de chez eux et de se payer une heure de trajet (aller simple) pour aller au boulot. On a privilégié le confort de bébé. Il n’a pas trop de voyage à faire, on le récupère le mercredi et le WE. Il a tout ce qu’il faut dans les deux maisons. Ca a l’air de l’amuser maintenant qu’une routine s’est installée.
On passe la soirée ensemble, diner, jeux, bain, couché… ben oui, il faut pas croire qu’on a abandonné le petit ! Ca fait de longues journées aux parents, j’ai oublié de dire que je fais 35h sur 4 jours…
Le mercredi, j’essaie de faire les courses… et oui depuis que je bosse, je n’ai pas d’autre choix que de manger conventionnel à la cantine… elle est très bonne mais cantine d’entreprise bio, il ne faut pas rêver ! Chez mes parents, j’ai du mal à faire passer le message, alors je les emmène faire les courses avec moi. Je mange chez eux et Alex aussi, il est normal que je paie les courses, mais c’est moi qui choisis le magasin ! J’ai beau expliqué l’enjeu de manger bio, ils ont l’impression de se faire arnaquer en sachant qu’ailleurs c’est moins cher et c’est pareil (apriori)… ou alors, ils séparent, la banane bio pour Alex et banane normale pour les autres… comment leur expliquer qu’en mangeant une banane bio, c ‘est aussi pour Alex ?
J’essaie de faire la cuisine mes jours de repos, pour manger bio de temps en temps… Papa se charge de divertir bébé, mais dès fois, je l’invite dans la cuisine pour regarder… Et j’emmène les gâteaux maison chez mes parents pour la le petit dej et le goûter de bébé.
Voilà, c’est pas la folie mais c’est un rythme soutenu, on ne s’arrête pas. On essaie de ne pas oublier de vivre, de bien manger malgré tout.
Pour éviter de le réveiller le matin et perdre 1h 30 à le préparer et à le déposer, bébé dort chez mes parents. On a choisi d’habiter près de chez eux et de se payer une heure de trajet (aller simple) pour aller au boulot. On a privilégié le confort de bébé. Il n’a pas trop de voyage à faire, on le récupère le mercredi et le WE. Il a tout ce qu’il faut dans les deux maisons. Ca a l’air de l’amuser maintenant qu’une routine s’est installée.
On passe la soirée ensemble, diner, jeux, bain, couché… ben oui, il faut pas croire qu’on a abandonné le petit ! Ca fait de longues journées aux parents, j’ai oublié de dire que je fais 35h sur 4 jours…
Le mercredi, j’essaie de faire les courses… et oui depuis que je bosse, je n’ai pas d’autre choix que de manger conventionnel à la cantine… elle est très bonne mais cantine d’entreprise bio, il ne faut pas rêver ! Chez mes parents, j’ai du mal à faire passer le message, alors je les emmène faire les courses avec moi. Je mange chez eux et Alex aussi, il est normal que je paie les courses, mais c’est moi qui choisis le magasin ! J’ai beau expliqué l’enjeu de manger bio, ils ont l’impression de se faire arnaquer en sachant qu’ailleurs c’est moins cher et c’est pareil (apriori)… ou alors, ils séparent, la banane bio pour Alex et banane normale pour les autres… comment leur expliquer qu’en mangeant une banane bio, c ‘est aussi pour Alex ?
J’essaie de faire la cuisine mes jours de repos, pour manger bio de temps en temps… Papa se charge de divertir bébé, mais dès fois, je l’invite dans la cuisine pour regarder… Et j’emmène les gâteaux maison chez mes parents pour la le petit dej et le goûter de bébé.
Voilà, c’est pas la folie mais c’est un rythme soutenu, on ne s’arrête pas. On essaie de ne pas oublier de vivre, de bien manger malgré tout.
Inscription à :
Articles (Atom)